Le numéro 6 du Sabot, revue littéraire de sabotage vient de paraître.
Comme ils vont vite en besogne, comme tous les gens jeunes et pressés, les saboteurs et saboteuses ont déjà saboté le confort (n° 2), le sexe (n° 3) [mais la couverture ne porte pas le slogan «Saboter le sexe»; c’est dommage], le travail (n° 4), la violence (n° 5) [même remarque, mais c’est très bien comme ça], et voilà que nous touchons «Terre!» avec la dernière livraison. Ça n’est pas pour autant la fin des pérégrinations saboteuses, puisqu’un numéro est prévu avec pour thème «la soif».
La revue se place clairement dans le compagnonnage de l’écrivain Marcel Moreau sur lequel l’un des animateurs-saboteurs, Antoine Jobard a rédigé et soutenu, en septembre 2016, une thèse de doctorat en Littératures françaises intitulée : Poétique du vivant et du mythe chez Marcel Moreau. La voix de l’Étrangeté : de l’organique au mythologique. On espère qu’un livre en sortira quelque jour prochain.
160 pages.


Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Holy etc. - Fabienne Radi
AMONG THE TREES - LIVIA DE MAGISTRIS
Assembly - Sam Porritt
Mökki n°2
De lave et de fer - Laurent Feynerou
In The Navy - Julien Kedryna
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
La construction - Perrine Le Querrec
Retour d'y voir - n° 1 & 2 - Mamco
La typographie des Penguin Classics - Andrew Barker
Triptyque - Ronan Bouroullec
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York 







