À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

УYY - Yelena Yemchuk
Teddy et le Grand Terrible - Orian Mariat.
Chausse-trape - Henri Crabières
Trous gris - Michel Vachey
Christina Forrer - Don’t Swallow Your Tongue
Hello tomato - Marion Caron & Camille Trimardeau
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Roven n°4
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Bruits - Emmanuel Madec 





