Mystique des rues vides et peu éclatantes des banlieues pavillonnaires, ce court poème en prose interpelle par sa langue sombre. Dans une parodie de messe noire – beigeasse comme le crépis des façades –, Théo Robine-Langlois dépeint le monde mystérieux des maisons individuelles, du repli sur soi démonique, et des vieilles qui marmonnent entre leurs gencives au retour du marché, le panier plein de gros sel et de radis noirs en guise d’hostie. Les mots occitans qui ponctuent le texte comme des conjurations en accroissent l’escur.

28 p

Blanche Endive - Grégoire Motte & Gabriel Mattei
Goodbye - Hsia-Fei Chang, Sofia Eliza Bouratsis, Medhi Brit, Enrico Lunghi
Image Canoë - Jérémie Gindre
Heads Together – Weed and the Underground Press Syndicate - David Jacob Kramer
Migrant Mother, Migrant Gender - Sally Stein
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier
moj’am al arabeia - Farah Khelil & antoine lefebvre editions
Email Diamant - Fabienne Radi
Norovirus - Orgie en mers chaudes - Claude Grétillat
Artzines #12 Provo Special
Rue Englelab, La révolution par les livres - Iran 1979 - 1983 - Hannah Darabi
Catalogue Art Guys - That's painting productions, Bernard Brunon
Critique d'art n°54
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Pour une esthétique de l'émancipation - Isabelle Alfonsi
Un peu comme voir dans la nuit - Leif Elggren + CD
Intérieurs - Claude-Hubert Tatot
Critique & création - L.L. de Mars
Link Human / Robot - Collectif dir. Emmanuelle Grangier
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York 









