Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


ARTZINES #1, Paris issue
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Oblikvaj 5 - Vingt-deux plongées profondes - Aude Barrio, Ensemble Batida
9 octobre 1977 - Roberto Varlez
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
Graphure et Peintrisme n°2 - B. Bonnemaison-Fitte, G. Pithon et M. Kanstad Johnsen
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Pour une esthétique de l'émancipation - Isabelle Alfonsi
Comment quitter la terre ? - Jill Gasparina, Christophe Kihm, Anne-Lyse Renon
Tchat - Gary Colin
Les Grands Ensembles - Léo Guy-Denarcy
Inframince et hyperlié - Philippe Lipcare
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege 





























