Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


De l'objet (comme un parcours) - Collectif, Sandra Chamaret
Tanière de lune - Maria-Mercé Marçal
Délié - Baptiste Oberson
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
Critique & création - L.L. de Mars
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Blaclywall by Sihab Baik - Claude Closky
In The Navy - Julien Kedryna
L'abécédaire d'un typographe - Gerrit Noordzij; Jost Hochuli
Saveurs imprévues et secrètes - Gilbert Lascault
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
š! #39 'The End' - coll.
twen [1959–1971]
Quels problèmes les artistes éditeurices peuvent-iels résoudre ? - Collectif
Citrus maxima xparadisi - coll.
interférence - 3 - maycec
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Le blanc nez - Fouss Daniel
La grande surface de réparation - Gilles Pourtier
Hybrid heads - Daniela Dossi
Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
Carnivore - Grow
Les voiles de Sainte-Marthe - Christian Rosset
Dédale - Laurent Chardon 





























