“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

Critique d'art n°54
Holy etc. - Fabienne Radi
Holyhood, vol. 1 — Guadalupe, California - Alessandro Mercuri
Absorber les fantômes - coll
1994 - 2001 - Lorenzo Castore
Critique d'art n°55
Album – Contemporary artists top 100 world 2020 - Gianpaolo Pagni
Graphzine Visages
Denver Mosaic 1961 - René Heyvaert
Le blanc nez - Fouss Daniel
Hybrid heads - Daniela Dossi
Drug Dealer Bags Vol.3 NYC - Hector Mosko
L’île de Reil - Karine Portal
Fluent - Laëticia Donval 













