À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
MegaOctet Verbateam
Gros Gris n°4 - Duel
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
ADBC du Dessin - Jacques Floret
Editer l’art – Leszek Brogowski
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Tanière de lune - Maria-Mercé Marçal
Une généalogie des grandes oreilles - Lauren Tortil
Lavalse des tambours - Paul Rey
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
Les voiles de Sainte-Marthe - Christian Rosset
Rendezvous - Eléonore Pano-Zavaroni 

