À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

Laura Mulvay - Fetichisme et curiosité
Trous gris - Michel Vachey
Syrtis Major - Barbara Meuli, Antoine Fischer
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
twen [1959–1971]
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
The life of Ruben - Bernardo Sousa Santos
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Aristide n°4
Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann
Anémochorie - Antonin Detemple
Dishes for Dolls - Ruth van Beek
Slow Down Abstractions - Adrien Vescovi
De l'objet (comme un parcours) - Collectif, Sandra Chamaret
Slikmiks - Mikkel Sommer / Mekl
Anderlecht — Molenbeek - Pierre Blondel
Sous mes semelles - Anaïs Lapel, Gaspard Kasimir
Sans-Titre - Laurens Van'T Riet
On the Soft Edge of Space - Marleen Sleeuwits 

