À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Manhoru - Thomas Couderc - Studio Helmo
Le vieux père - Laurent Kropf
Piano - Joseph Charroy
Danses d'intérieur - Lotus Eddé Khouri
Tierra Mágica - Yannick Cormier, Candice Moise
RISO Le Loup de Hobbes - Philonimo 9 - Herbéra
Le museau de mes amies m’amuse - Jehane Mahmoud
Le blanc nez - Fouss Daniel
Aurore Colbert - Marie Mons
Eros negro n°4 - Démoniak
Flower finds - Orianne Jeanselme
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
Poster Photo Magazine n°1
Gruppen n°14 - Collectif
Prélude - Julien Gobled
Slanted 30 - Athens
Clubhouse #14 - Colorama Books
La beauté d'une musique qui ne compte pas - Kenneth Gaburo 





