À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Talk Soon - Erik Kessels & Thomas Sauvin
Critique d'art n°55
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Saint Julien l'hospitalier Tome 2 - Claire Pedot
À partir de n°4 - Collectif
interférence - 2 - maycec
Bienvenue à Colomeri ! - Hécate Vergopoulo,
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
The Tinklers Charts and Stories - LEBRUN Olivier, LEHNI Urs
Firestar - AD Rose 





