Troisième élément ré-édité et notablement augmenté d’une série d’ouvrages qui s’attachent à dire à quoi tient le design, Travailler pour nous établit que ce qui s’est finalement appelé de ce mot, s’il a bien émergé dans le temps de la machination productive par Marx appelée « grande industrie », n’a pas acquiescé pour autant à l’économie majeure de cette machination. Ainsi ne s’est-il proposé d’en développer ni les usages ni les services. L’enjeu, qui demeure, était ailleurs. Il s’agissait, étant donnée la présence des machines, de travailler, vraiment travailler, avec elles, de faire porter sur la disposition des techniques une tension utile, d’opérer contre l’uniformité, bref de chercher la vivacité de l’époque en allant aux formes. Tout cela nous regarde encore. Quelles que soient la taille et la nature des puissances en jeu, il y allait de la présence, à soutenir encore, d’une courageuse résolution.
192 pages

In The Navy - Julien Kedryna
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
il y avait une ville - Laeticia L'Heureux
akaBB - tribute to Roni horn
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Burning Images, A History of Effigy Protests - Florian Göttke
Le dernier homme - Johann Rivat
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
Salt Crystal - Fabio Parizzi
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
Strates & Archipels - Pierre Merle
interférence - 2 - maycec
Tableaux fluo - 2013-2016 - Nina Childress
Illusive prosody - Alex Beaurain
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.] 

