Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel
La typographie des Penguin Classics - Andrew Barker
A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
Optical Sound 3
La France de tête #04
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Inflamed Invisible - David Toop
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Imagos - Noémie Lothe
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Inframince et hyperlié - Philippe Lipcare
Illusive prosody - Alex Beaurain
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Carnivore - Grow
Strates & Archipels - Pierre Merle
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
In The Navy - Julien Kedryna 





























