Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Artzines #12 Provo Special
Burning Images, A History of Effigy Protests - Florian Göttke
Florina Leinß - Ersatzteillager
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
Le blanc nez - Fouss Daniel
Illusive prosody - Alex Beaurain
Sans titre - Benjamin Hartmann
Graphzine Visages
Critique d'art n°55
本の本の本 - antoine lefebvre editions,
Le lacéré anonyme - Jacques Villeglé
Keywording (Post) Contemporary Art - Greta Rusttt
Inframince et hyperlié - Philippe Lipcare
Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Le vieux père - Laurent Kropf
Salt Crystal - Fabio Parizzi
Sillo n°3 - Le Fauve
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Soleil, eau, vent : vers l'autonomie énergétique - Delphine Bauer
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin 





























