“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
SKKS - Gilles Pourtier
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
Aristide n°4
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Critique d'art n°56
Fluent - Laëticia Donval
Citrus maxima xparadisi - coll.
16 x 421 - Lorraine Druon
Donne des racines au loup-garou & fais courir l'arbre la nuit - Pauline Barzilaï
Slanted 30 - Athens
Norovirus - Orgie en mers chaudes - Claude Grétillat
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
Bambi # 4 - Collectif
Critique d'art n°55
Le corps travesti - Michel Journiac
Dédale - Laurent Chardon
Strates & Archipels - Pierre Merle
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Piano - Joseph Charroy 













