“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

La Grande révolution - Une histoire de l'architecture féministe - Dolores Hayden
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Aurore Colbert - Marie Mons
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
Un peu comme voir dans la nuit - Leif Elggren + CD
De lave et de fer - Laurent Feynerou
Black Case Volume I and II: Return From Exile - Joseph Jarman
Poèmes - Yvonne Rainer
Piano - Joseph Charroy
La construction - Perrine Le Querrec
Débris N°2 - Théo Garnier Greuez
La traversée - Magali Brueder
Tchat - Gary Colin
La mémoire en acte - Quarente ans de création musicale
Le blanc nez - Fouss Daniel
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Objets Minces - Collectif
CURIOSITY — David Lynch 













