À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Travaux Discrets (d'après Brueghel) - Éric Watier
I Am Not I - Boris Mikhailov
Artzines # 10 - Show & Tell #2 NY Special
Le seuil - Quentin Yvelin
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
Hybrid heads - Daniela Dossi
Comment réparer : La maternité et ses fantômes - Iman Mersal
Teddy et le Grand Terrible - Orian Mariat.
Janitor of Lunacy - Bryan Campbell
Keywording (Post) Contemporary Art - Greta Rusttt
Phasing Consequence - Louis Reith
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
Délié - Baptiste Oberson
Rasclose - Geoffroy Mathieu
Escape - Makiko Minowa
Rupture (fragments) - Benjamin Monti, Jean-Charles Andrieu de Levis
Hérésie Étiologique - coll.
Le blanc nez - Fouss Daniel
Aurore Colbert - Marie Mons
L'eau jusqu'au nombril - Lilian Froger
Sex I - Kingué Camille 





