Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Crise de foie - Christine Demias
L'arum tacheté de J-M. Bertoyas
IUZZA. Goliarda Sapienza - Francesca Todde
Danses d'intérieur - Lotus Eddé Khouri
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Assembly - Sam Porritt
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Le blanc nez - Fouss Daniel
interférence - 3 - maycec
Saveurs imprévues et secrètes - Gilbert Lascault
Critique d'art n°56
Birds - Damien Poulain
ADBC du Dessin - Jacques Floret
Phasing Consequence - Louis Reith
Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel 







