Le fil qui relie ces images tient plus de l’errance que d’un quelconque itinéraire établi d’avance. Le hasard, les envies, le goût des chemins de traverse ont toujours tenu lieu de guide. Cimetières oubliés, restaurants perdus au milieu de nulle part, juke-joints déserts, motels abandonnés (en apparence seulement), cabanes d’un autre âge… Ces photographies se lisent comme des pages de Carson McCullers ou de James Baldwin, s’écoutent comme des blues de Jessie Mae Hemphill ou de Robert Belfour, se regardent comme celles de Walker Evans ou d’Alec Soth. Quand on lui demande de décrire son travail, Marina Cox le définit volontiers comme du « documentaire poétique ».

Photographies de Marina Cox
Avant-propos de Larry Fink
Notes de Alain d’Hooghe
104 pages
26 x 24 cm
400 exemplaires
Français / Anglais
76 photographies en quadrichromie
Couverture cartonnée

A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
ARTZINES #1, Paris issue
Télégraphes de l'Utopie – L'art des avant-gardes en Europe Centrale 1918-1939 - Sonia de Puineuf
Matriochka - Fanette Mellier (3ème ed.)
interférence - 2 - maycec
Alma Mater n°1
Inframince et hyperlié - Philippe Lipcare
I Am Not I - Boris Mikhailov
Le vieux père - Laurent Kropf
Four Worlds - Hannah Waldron
Link Human / Robot - Collectif dir. Emmanuelle Grangier
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Piano - Joseph Charroy
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
Ventoline 5 - Coll.
Gruppen n°14 - Collectif
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif 

















