VOMIR se cogne à la drogue.
VOMIR est allongé dans un lit d’hôpital.
On y rencontre des soignants
qui réaniment, des organes qui
dysfonctionnent et un sexe mutilé.
On y trouve une vie branchée
à des machines, des réflexions
sur la dépendance et des
considérations sur le genre.
On y croise un chat ambigu,
de l’amour, des vikings, de l’électro
minimaliste transhumanisée
et un vampire en forme de juke-box.
VOMIR est une tentative pour survivre.
Ce récit est le témoignage d’un jeune homme ayant survécu à une prise mortelle de drogues. Sous forme de journal intime, il nous plonge dans les semaines qui suivent cet évènement. La rencontre entre l’autodestruction et les espaces du soin devient le cadre propice à des réflexions poétiques et politiques.
collection du Seum (récit)
56 pages