Troisième élément ré-édité et notablement augmenté d’une série d’ouvrages qui s’attachent à dire à quoi tient le design, Travailler pour nous établit que ce qui s’est finalement appelé de ce mot, s’il a bien émergé dans le temps de la machination productive par Marx appelée « grande industrie », n’a pas acquiescé pour autant à l’économie majeure de cette machination. Ainsi ne s’est-il proposé d’en développer ni les usages ni les services. L’enjeu, qui demeure, était ailleurs. Il s’agissait, étant donnée la présence des machines, de travailler, vraiment travailler, avec elles, de faire porter sur la disposition des techniques une tension utile, d’opérer contre l’uniformité, bref de chercher la vivacité de l’époque en allant aux formes. Tout cela nous regarde encore. Quelles que soient la taille et la nature des puissances en jeu, il y allait de la présence, à soutenir encore, d’une courageuse résolution.
192 pages

L'inventaire des destructions - Éric Watier
Eros negro #2 - Demoniak
Piano - Joseph Charroy
Critique & création - L.L. de Mars
BIC011 Montes - Braulio Amado
In The Navy - Julien Kedryna
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Eros negro n°4 - Démoniak
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
Image Canoë - Jérémie Gindre
Goodbye - Hsia-Fei Chang, Sofia Eliza Bouratsis, Medhi Brit, Enrico Lunghi
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Hérésie Étiologique - coll.
Salt Crystal - Fabio Parizzi
A Journal of Militant Sound Inquiry – Vol. 1 – Naming the Moment - Ultra-red
Sillo n°3 - Le Fauve
Berlin Design Digest
16 x 421 - Lorraine Druon
Répliques - Claude Gretillat
Polyphème (d'après Euripide) - J. & E. LeGlatin
Ellipse - Ismail Alaoui-Fdili
Strange Design - Ed. Jehanne Dautrey et Emanuele Quinz. 

