Mystique des rues vides et peu éclatantes des banlieues pavillonnaires, ce court poème en prose interpelle par sa langue sombre. Dans une parodie de messe noire – beigeasse comme le crépis des façades –, Théo Robine-Langlois dépeint le monde mystérieux des maisons individuelles, du repli sur soi démonique, et des vieilles qui marmonnent entre leurs gencives au retour du marché, le panier plein de gros sel et de radis noirs en guise d’hostie. Les mots occitans qui ponctuent le texte comme des conjurations en accroissent l’escur.

28 p

RÉVÉSZ LÁSZLÓ LÁSZLÓ , Not Secret
Sans titre - Benjamin Hartmann
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Guten Tag - Pablo Tomek
Parallélisme - Nicolas Nadé
L'arum tacheté de J-M. Bertoyas
Image Canoë - Jérémie Gindre
La nuit, tu mens - Ambre Husson
SKKS - Gilles Pourtier
Optical Sound 3
Aristide n°4
ICCMHW - Atelier Choque Le Goff
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
Pilote - Mathilde Sauzay
Du Fennec au Sahara - Guillaume Pinard
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Dark optics - David Claerbout 









