Mystique des rues vides et peu éclatantes des banlieues pavillonnaires, ce court poème en prose interpelle par sa langue sombre. Dans une parodie de messe noire – beigeasse comme le crépis des façades –, Théo Robine-Langlois dépeint le monde mystérieux des maisons individuelles, du repli sur soi démonique, et des vieilles qui marmonnent entre leurs gencives au retour du marché, le panier plein de gros sel et de radis noirs en guise d’hostie. Les mots occitans qui ponctuent le texte comme des conjurations en accroissent l’escur.

28 p

Radio-Art - Tetsuo Kogawa
SKKS - Gilles Pourtier
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Plant-Based Monster Trucks - Lina Müller, Luca Schenardi
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Gruppen n°13 - Collectif
Guten Tag - Pablo Tomek
Pour voir, Emscher Park - Gaëtane Lamarche-Vadel
Keywording (Post) Contemporary Art - Greta Rusttt
Sillo n°3 - Le Fauve
Les dessins de Julien - Julien Marmar
Danses d'intérieur - Lotus Eddé Khouri
Village - Julie Safirstein
Lavori in corso - Florence Cats & Joseph Charroy
In The Navy - Julien Kedryna
Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
Dishes for Dolls - Ruth van Beek
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier 









