Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Slanted 24 - Istanbul
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Do insects play ? - Johanna Tagada Hoffbeck
Alma Mater n°1
Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass
Cyclone - Juliette Chalaye
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Editer l’art – Leszek Brogowski
Mission Control - Emir Karyo & Jan Wojda
Imagos - Noémie Lothe
Hérésie Étiologique - coll.
Le Gabion - Théo Robine-Langlois
Piano - Joseph Charroy
Le dos des choses - Guillaume Goutal
À partir de n°1 - Coll.
Paravents - Eva Taulois
Artzines # 10 - Show & Tell #2 NY Special
Critique d'art n°54
Heads Together – Weed and the Underground Press Syndicate - David Jacob Kramer
Le déclin du professeur de tennis - Fabienne Radi
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Der Erste Rotkehlchen - Le livre 





























