Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Le déclin du professeur de tennis - Fabienne Radi
A book (untitled) - Maya Strobbe
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Critique d'art n°55
Keywording (Post) Contemporary Art - Greta Rusttt
In The Navy - Julien Kedryna
Dédale - Laurent Chardon
(page 1 et 17) - Lorraine Druon
Distant Egghug - Peter McDonald
Oblikvaj 5 - Vingt-deux plongées profondes - Aude Barrio, Ensemble Batida
Sillo n°3 - Le Fauve
Anderlecht — Molenbeek - Pierre Blondel
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
SNAKKEBOB … Kan jeg få et ord med deg? Tim Ng Tvedt
Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy 





























