“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

SNAKKEBOB … Kan jeg få et ord med deg? Tim Ng Tvedt
Paris la Consciencieuse : Paris la Guideuse du monde - Frédéric Bruly Bouabré
Polyphème (d'après Euripide) - J. & E. LeGlatin
La construction - Perrine Le Querrec
Critique & création - L.L. de Mars
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Sous mes semelles - Anaïs Lapel, Gaspard Kasimir
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez - FR
Le dos des choses - Guillaume Goutal 













