“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

Le corps travesti - Michel Journiac
Deep state - Mathieu Desjardins
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Imagos - Noémie Lothe
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Blaclywall by Sihab Baik - Claude Closky
Strates & Archipels - Pierre Merle
L'inventaire des destructions - Éric Watier
Poèmes - Yvonne Rainer
Jawa Tengah Combo - Fred Maillard
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Retour d'y voir - n° 1 & 2 - Mamco
Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel
Mosaïque d'asphalte - Jack Torrance
Good Company - Paul Van der Eerden
Sillo n°3 - Le Fauve
Objets Minces - Collectif
Le blanc nez - Fouss Daniel 













