À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

Parataxes + CD - Michael Gendreau
Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass
Tarwar - Ilan Manouach
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
L'inventaire des destructions - Éric Watier
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Deep state - Mathieu Desjardins
Konrad Becker - Dictionnaire de réalité stratégique
Rond-point au mammouth - Sur une idée de Veit Stratmann 

