À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

Assembly - Sam Porritt
Bokkusu - Nigel Peake
Three Dice - Aymeric Vergnon
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
il y avait une ville - Laeticia L'Heureux
Eros negro n°3 - Démoniak
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
A book (untitled) - Maya Strobbe
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Délié - Baptiste Oberson
Perturbations - Rosaire Appel
Typologie – La tente de camping
Le corps travesti - Michel Journiac
Dialogue de dessins 8 - Marcus Oakley, Roxane Lumeret, Zad Kokar
Graphic Design Is (…) Not Innocent - Ingo Offermanns
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
☀ - Manon Demarles
Idoine & Sissy Hankshaw 

