À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

Jean-Jacques a dit - Angèle Douche
Turlupin N°1 \ Soumission — Michael Dans
La prise - Florian Javet
JJ – Tartine-moi et autres textes - Jill Johnston
Il était deux fois - Gary Colin
Gros Gris n°4 - Duel
Le Parfum du Silence - Bonnie Colin
Keywording (Post) Contemporary Art - Greta Rusttt
Zoom Age - Julien Auregan
Beatmap - Alex Besikian
Tchat - Gary Colin
Deep state - Mathieu Desjardins
Hideous - Thomas Perrodin, Néoine Pifer
Hmm ! - C. de Trogoff
Village - Julie Safirstein
Rasclose - Geoffroy Mathieu
IUZZA. Goliarda Sapienza - Francesca Todde
Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Censored n°05 - Transmission
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
Plus c'est facile, plus c'est beau : prolégomènes à la plus belle exposition du monde - Éric Watier 

