« On habite ce que l’on peut : la faïence, la baignoire, le hlm, le trottoir, on construit une cabane. Du début à la fin on utilise l’amour comme survie collective. » Fiévreuse plébéienne, Élodie Petit
Fiévreuse plébéienne est un texte en cours qui interroge la façon d’habiter son corps, le monde, ses désirs. Ça parle d’amour, de précarité et de sexualité. Ça emmêle directement le corps au politique, ça prône haut et fort l’expérimentation et le plagiat, ça mélange Dirty dancing pour les gouines et une volonté très forte de faire la révolution. Fiévreuse plébéienne est un livre nouveau de poésie, une recherche durable dans l’écriture sexuelle, une expérience intime.