À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Dans la Lune - Fanette Mellier
Le blanc nez - Fouss Daniel
interférence - 3 - maycec
La Grande révolution - Une histoire de l'architecture féministe - Dolores Hayden
L'internationale modique (AND 3) - J-M. Bertoyas
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
Les oiseaux - Lola Raban, Jean-René Etienne
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
La Bibliothèque grise - Jérôme Dupeyrat & Laurent Sfar
Hand Smoothed - Coin Fos
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
š! #39 'The End' - coll.
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
fig. #6 - antithèse
Revue La Ronde n°14
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Les ratons laveurs - Sophie Couderc 





