Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Critique d'art n°55
Après la révolution – numéro 1
Triptyque - Ronan Bouroullec
Rond-point au mammouth - Sur une idée de Veit Stratmann
Grilles - Zelda Mauger
Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
Graphure et Peintrisme n°2 - B. Bonnemaison-Fitte, G. Pithon et M. Kanstad Johnsen
Feminist Art Activisms and Artivisms - Katy Deepwell (ed.)
Le dos des choses - Guillaume Goutal
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
SKKS - Gilles Pourtier
Rasclose - Geoffroy Mathieu
Le corps travesti - Michel Journiac
Lavalse des tambours - Paul Rey
À partir de n°1 - Coll.
La prise - Florian Javet
Salt Crystal - Fabio Parizzi
In The Navy - Julien Kedryna
Strates & Archipels - Pierre Merle 









