Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Prose postérieure - Les commissaires anonymes
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Sans titre - Benjamin Hartmann
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Retour d'y voir - n° 1 & 2 - Mamco
Étrangement seuls - Jean-Pascal Princiaux
Hobo Nickel - Damien Sauvage
Instructional Photography: Learning How to Live Now - Carmen Winant
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
9 octobre 1977 - Roberto Varlez
Le vieux père - Laurent Kropf
Gruppen n°14 - Collectif
A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
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The Shelf - Journal 3
Critique d'art n°55
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Critique d'art n°54
La beauté d'une musique qui ne compte pas - Kenneth Gaburo
Sillo n°3 - Le Fauve
Off the Grid - Anna Niklova
Catalogue Art Guys - That's painting productions, Bernard Brunon
Le singe et le bijoux - Roxane Lumeret 









