— Il y a un moment où il faut sortir les couteaux.
C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre le très bref texte de Christiane Rochefort, Définition de l’opprimé.
Paru en 1971 en présentation du S.C.U.M. Manifesto de Valerie Solanas (première traduction française par Emmanuelle de Lesseps, éditions La nouvelle société, collection olympia), il a été supprimé de toutes les rééditions qui ont suivi, remplacé par des préfaces et postfaces moins heureuses, sans doute alors jugées plus actuelles par leurs différents éditeurs.
En 2021, avec l’aimable autorisation de l’ayant droit de Christiane Rochefort, les éditions les vilains publient pour la première fois ce texte pour lui-même, convaincues qu’il faut plus que jamais définir les mots que l’on emploie et espérant contribuer à faire vivre la puissance sobre et radicale de Christiane Rochefort.

Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Perles & Fracas - Bill Noir
Le dos des choses - Guillaume Goutal
La beauté d'une musique qui ne compte pas - Kenneth Gaburo
Optical Sound 2
Holy etc. - Fabienne Radi
Imagos - Noémie Lothe
Chantonnements - Geoffroy Pithon
Piano - Joseph Charroy
L'internationale modique (AND 3) - J-M. Bertoyas
L'arum tacheté de J-M. Bertoyas
akaBB - tribute to Roni horn
Soleil, eau, vent : vers l'autonomie énergétique - Delphine Bauer
Umami - Ariane Vonmoos
Détours - Vincent Chappuis
Jean-Jacques a dit - Angèle Douche
Sillo n°3 - Le Fauve 

