— Il y a un moment où il faut sortir les couteaux.
C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre le très bref texte de Christiane Rochefort, Définition de l’opprimé.
Paru en 1971 en présentation du S.C.U.M. Manifesto de Valerie Solanas (première traduction française par Emmanuelle de Lesseps, éditions La nouvelle société, collection olympia), il a été supprimé de toutes les rééditions qui ont suivi, remplacé par des préfaces et postfaces moins heureuses, sans doute alors jugées plus actuelles par leurs différents éditeurs.
En 2021, avec l’aimable autorisation de l’ayant droit de Christiane Rochefort, les éditions les vilains publient pour la première fois ce texte pour lui-même, convaincues qu’il faut plus que jamais définir les mots que l’on emploie et espérant contribuer à faire vivre la puissance sobre et radicale de Christiane Rochefort.

Inframince et hyperlié - Philippe Lipcare
Party Studies – Vol. 1 – Home gatherings, flat events, festive pedagogy and refiguring the hangover
Revue La Ronde n°14
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier
La tour Tatline - Georgi Stanishev
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
ICCMHW - Atelier Choque Le Goff
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
Atopoz - Collectif
Une goutte d'homme - Alice Dourlen
Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel
Planète B - Gwenola Wagon
Fluent - Laëticia Donval
Modern Instances, The Craft of Photography - Stephen Shore
Saint Julien l'hospitalier Tome 2 - Claire Pedot
Roven n°4 

