Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Soldes n° 07
fil·le·s de polypropylène bleu - coll.
Deep state - Mathieu Desjardins
In The Navy - Julien Kedryna
Oblikvaj 5 - Vingt-deux plongées profondes - Aude Barrio, Ensemble Batida
Aurore Colbert - Marie Mons
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Dessins pour Rugir - Virginie Rochetti
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Illusive prosody - Alex Beaurain
Bacon le Cannibale - Perrine Le Querrec
Saint Julien l'hospitalier Tome 2 - Claire Pedot
Dear Paul - Paul Van der Eerden
Optical Sound 2
moj’am al arabeia - Farah Khelil & antoine lefebvre editions
De l'objet (comme un parcours) - Collectif, Sandra Chamaret
Le blanc nez - Fouss Daniel
ARTZINES #1, Paris issue
Holy etc. - Fabienne Radi 







