Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


The Shelf - Journal 3
Une livre - Christine Demias
Boundary - Nigel Peake
Grilles - Zelda Mauger
She is warm - Iringo Demeter
Le lacéré anonyme - Jacques Villeglé
L’île de Reil - Karine Portal
Atopoz - Collectif
Elk - Jocko Weyland
Eros negro n°4 - Démoniak
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
Intérieurs - Claude-Hubert Tatot
Followers - Agnès Wyler
Comic Book (Untitled) - Stéphanie Leinhos
Autodrône - Divine Vizion
Pierre et Fleur - Mélanie Corre
Catalogue Art Guys - That's painting productions, Bernard Brunon
Ventoline 6 - Coll
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
People in a faraday cage - Stéphanie Gygax
Roven n°4
Rasclose - Geoffroy Mathieu
À partir de n°1 - Coll.
Le Gabion - Théo Robine-Langlois 







