Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
SKKS - Gilles Pourtier
Rasclose - Geoffroy Mathieu
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
Dernier royaume - Quentin Derouet
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Pour voir, Emscher Park - Gaëtane Lamarche-Vadel
ADBC du Dessin - Jacques Floret
Black Case Volume I and II: Return From Exile - Joseph Jarman
La traversée - Magali Brueder
Roven n°5
Image Canoë - Jérémie Gindre
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier
akaBB - tribute to Roni horn
Poèmes - Yvonne Rainer
Critique d'art n°55
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Le corps travesti - Michel Journiac
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon 







