Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon
Retour d'y voir - n° 1 & 2 - Mamco
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
Poèmes - Yvonne Rainer
Après la révolution – numéro 1
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
Slanted 24 - Istanbul
Sillo n°3 - Le Fauve
Les voiles de Sainte-Marthe - Christian Rosset 







