Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Ce que l'histoire fait au graphisme - Clémence Imbert
Catalogue Art Guys - That's painting productions, Bernard Brunon
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WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez - FR
Illusive prosody - Alex Beaurain
Un cheval, des silex - Benoît Maire, Sally Bonn
interférence - 3 - maycec
Assembly - Sam Porritt
Good Company - Paul Van der Eerden
Le vieux père - Laurent Kropf
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
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Rois de la forêt - Alain Garlan 







