Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Piano - Joseph Charroy
Escape - Makiko Minowa
On-off Tones - Anna Bergquist
Chausse-trape - Henri Crabières
Beatmap - Alex Besikian
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
Boundary - Nigel Peake
Dédale - Laurent Chardon
L'abécédaire d'un typographe - Gerrit Noordzij; Jost Hochuli
Feminae Explorarum - Ingrīda Pičukān
Entrez sans sonnet - Julie Redon
genital or genius - Paul
love forever - Victoria Hespel
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Roven n°4
Poèmes - Yvonne Rainer 







