Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Oblikvaj 5 - Vingt-deux plongées profondes - Aude Barrio, Ensemble Batida
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Turbo Decompress - Coll.
La traversée - Magali Brueder
Roven n°5
Sans titre - Chris Kiss
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
UPO 2 - J'aimerai être là - Xenia Naselou
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
akaBB - tribute to Roni horn
SKKS - Gilles Pourtier
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Tanière de lune - Maria-Mercé Marçal 







