Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


La traversée - Magali Brueder
Grilles - Zelda Mauger
La prise - Florian Javet
Illusive prosody - Alex Beaurain
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Le blanc nez - Fouss Daniel
Tableaux fluo - 2013-2016 - Nina Childress
Strates & Archipels - Pierre Merle
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Imagos - Noémie Lothe
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Après la révolution – Hors-série – JO Paris 2024. Carnets de luttes
Piano - Joseph Charroy
The Shelf - Journal 3
ADBC du Dessin - Jacques Floret
Optical Sound 3
9 octobre 1977 - Roberto Varlez
Le corps travesti - Michel Journiac
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Aurore Colbert - Marie Mons
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Deep state - Mathieu Desjardins
Marcel Proust en cinq minutes — Jackson B. Smith 







