« Once upon a time in Hollywood » : il est rare de procéder à la « monographie » d’un bâtiment, surtout lorsqu’il situe à Los Angeles le Bradbury Building (1893), un monument historique inspiré de l’École de Chicago mais devenu, un siècle plus tard, l’icône « rétro-futuriste » de Blade Runner, la dystopie urbaine de Ridley Scott (1982)… Pourtant, l’appartement du généticien J. F. Sebastian où se réfugie Pris, la prostituée réplicante, est aussi l’adresse d’une séquence de Chinatown (1974) et de bien d’autres films noirs, clips de rap ou supports de pop culture. Une coupe s’immisce alors entre fiction et réalité, glissement urbain que ne renieraient ni Jean Baudrillard ni Quentin Tarantino : devant, mais aussi derrière la caméra…
80 pages.


Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
Le Patou, la pomme et son jus - Robin Garnier-Wenisch
Parallélisme - Nicolas Nadé
Délices d’Orient - Sarah Vadé
The Image of Whiteness - Daniel C. Blight
Comme si la nuit avait dévoré le Monde - Philippe Baudouin, Jean-Baptiste Carobolante
Gruppen n°14 - Collectif 







