
Ces actes de désobéissance numérique prennent le contre-pied de la gouvernementalité et souveraineté des plateformes (GAFAM). Ils réinscrivent l’histoire du code, du cryptage et du calcul dans une critique de la culture contemporaine et ré-ouvrent des voies d’émancipation citoyenne. « Faire œuvre de hacking » recouvre ici des enjeux sociaux et politiques autant qu’esthétiques : réflexivité (critique), autonomie, indépendance, réappropriation des cultures matérielles (contre l’obsolescence et contre l’opacité des systèmes). La question du détournement y est centrale, l’humour et la parodie y occupent une place de choix.
En proposant de « penser par l’art », l’ouvrage aborde différentes figures de cette désobéissance numérique à travers les œuvres de plusieurs artistes internationaux : Trevor Paglen (USA), Paolo Cirio (Italie, USA), Julien Prévieux, Benjamin Gaulon, Christophe Bruno, Samuel Bianchini (France), Bill Vorn (Canada), Disnovation.org (France, Pologne, Russie), HeHe (France, Allemagne, Royaume-Uni).

Migrant Mother, Migrant Gender - Sally Stein
Mökki n°4
Aristide n°4
Alma Mater n°1
Collective Design : Alison & Peter Smithson
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Grilles - Zelda Mauger
Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Sans titre - Benjamin Hartmann
Bambi # 4 - Collectif
La construction - Perrine Le Querrec
Un essai sur la typographie - Eric Gill
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier
Eldorado maximum - Les commissaires anonymes 











