Le fil qui relie ces images tient plus de l’errance que d’un quelconque itinéraire établi d’avance. Le hasard, les envies, le goût des chemins de traverse ont toujours tenu lieu de guide. Cimetières oubliés, restaurants perdus au milieu de nulle part, juke-joints déserts, motels abandonnés (en apparence seulement), cabanes d’un autre âge… Ces photographies se lisent comme des pages de Carson McCullers ou de James Baldwin, s’écoutent comme des blues de Jessie Mae Hemphill ou de Robert Belfour, se regardent comme celles de Walker Evans ou d’Alec Soth. Quand on lui demande de décrire son travail, Marina Cox le définit volontiers comme du « documentaire poétique ».

Photographies de Marina Cox
Avant-propos de Larry Fink
Notes de Alain d’Hooghe
104 pages
26 x 24 cm
400 exemplaires
Français / Anglais
76 photographies en quadrichromie
Couverture cartonnée

La prise - Florian Javet
Tanière de lune - Maria-Mercé Marçal
Un essai sur la typographie - Eric Gill
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
No Go Zone n°1 Canal Saint-Denis
Rocher du Ciel - Martin Desinde
Aurore Colbert - Marie Mons
interférence - 2 - maycec
Phasing Consequence - Louis Reith
Holy etc. - Fabienne Radi
Salt Crystal - Fabio Parizzi
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Bodies in Scattered Light - Andriu Deplazes
Jardín de mi padre - Luis Carlos Tovar
Der Erste Rotkehlchen - Le livre 

















