VOMIR se cogne à la drogue.
VOMIR est allongé dans un lit d’hôpital.
On y rencontre des soignants
qui réaniment, des organes qui
dysfonctionnent et un sexe mutilé.
On y trouve une vie branchée
à des machines, des réflexions
sur la dépendance et des
considérations sur le genre.
On y croise un chat ambigu,
de l’amour, des vikings, de l’électro
minimaliste transhumanisée
et un vampire en forme de juke-box.
VOMIR est une tentative pour survivre.
Ce récit est le témoignage d’un jeune homme ayant survécu à une prise mortelle de drogues. Sous forme de journal intime, il nous plonge dans les semaines qui suivent cet évènement. La rencontre entre l’autodestruction et les espaces du soin devient le cadre propice à des réflexions poétiques et politiques.
collection du Seum (récit)
56 pages

Musique pour les yeux - Johann Bertrand Dhy
Graphure et Peintrisme n°2 - B. Bonnemaison-Fitte, G. Pithon et M. Kanstad Johnsen
Halogénure #04
Travaux Discrets (d'après Brueghel) - Éric Watier
Bambi # 4 - Collectif
Dernier royaume - Quentin Derouet
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
La vallée - la brèche - Tania Maria Elisa
Slikmiks - Mikkel Sommer / Mekl
Perturbations - Rosaire Appel
Theatre - Dan Graham
Absorber les fantômes - coll
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon 



