Edité et traduit de l’anglais par Lionel Bize, Laura Daengeli, Christian Indermuhle, Christine Ritter et Thibault Walter.

Le chagrin qui divise l’abîme n’est pas mesurable, il crée simplement un lien vers un autre abîme et n’est perceptible ni par la peau […] ni par l’odeur, ni par l’écoute, ni par le goût ni même par la vue, mais par quelque chose d’autre. Quelque chose d’autre.
Leif Elggren est un écrivain, musicien et performeur suédois, né en 1950 et vivant à Stockholm. Son oeuvre interroge la fragilité de l’existence humaine, en mettant en scène des situations-limites, comme par exemple le rapport de l’enfant à sa propre naissance ou celui du vieillard à sa propre déchéance. À la manière de boîtes de conserves délicatement décolletées, ses textes explorent l’étrange beauté et la dignité engravée de déchets inutiles, de vies défaites, de souverainetés humiliées, d’arrogances évidées. Son travail joue avec les frontières, les entre-deux, les passages, dans des performances scéniques qui croisent les arts visuels, la danse et les arts sonores.
Ce livre a été publié avec le soutien de la Fondation Jan Michalski pour l’Ecriture et la Littérature

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