Journal intime de l’été 2020, dessiné entre montagnes et lacs : instants, sensations et sentiments captés à la gouache et au crayon.

« Ça ne tient à pas grand chose de se laisser emporter et basculer à l’intérieur de nos pensées, l’équilibre est fragile et l’on ne sait pas de quel côté se passera la chute. On ferme les yeux, l’errance, le temps et les lieux défilent, sans un lien précis. On ne cherche rien, nos émotions s’échappent, notre cœur est en fuite, même s’accrocher à un lointain souvenir se révèle impossible.
Je marche vite, je dépasse tout le monde, personne devant, personne derrière, juste le ciel, le chemin, les lacs, la mer et des formes, des couleurs que mon nerf optique semble avoir beaucoup de peine à reconnaître. Je veux me retrouver seul, je ne perds pas de vue l’horizon, mais c’est quoi l’horizon quand tout nous laisse à vif, un voyage qui s’est égaré dans notre tête pour disparaître dans nos failles.»
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À partir de n°4 - Collectif
Gruppen n°13 - Collectif
Retour d'y voir - n° 3 & 4 - Mamco
SKKS - Gilles Pourtier
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Editer l’art – Leszek Brogowski
Comment réparer : La maternité et ses fantômes - Iman Mersal
Critique d'art n°54
People in a faraday cage - Stéphanie Gygax
Pour une esthétique de l'émancipation - Isabelle Alfonsi
Modern Instances, The Craft of Photography - Stephen Shore
Délié - Baptiste Oberson
Burning Images, A History of Effigy Protests - Florian Göttke
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang 

















