Troisième élément ré-édité et notablement augmenté d’une série d’ouvrages qui s’attachent à dire à quoi tient le design, Travailler pour nous établit que ce qui s’est finalement appelé de ce mot, s’il a bien émergé dans le temps de la machination productive par Marx appelée « grande industrie », n’a pas acquiescé pour autant à l’économie majeure de cette machination. Ainsi ne s’est-il proposé d’en développer ni les usages ni les services. L’enjeu, qui demeure, était ailleurs. Il s’agissait, étant donnée la présence des machines, de travailler, vraiment travailler, avec elles, de faire porter sur la disposition des techniques une tension utile, d’opérer contre l’uniformité, bref de chercher la vivacité de l’époque en allant aux formes. Tout cela nous regarde encore. Quelles que soient la taille et la nature des puissances en jeu, il y allait de la présence, à soutenir encore, d’une courageuse résolution.
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La mémoire en acte - Quarente ans de création musicale
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Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann
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Après la révolution – numéro 1
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Critique d'art n°56
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Comme si la nuit avait dévoré le Monde - Philippe Baudouin, Jean-Baptiste Carobolante
Ilya Ehrenbourg - Et pourtant elle tourne
L'arum tacheté de J-M. Bertoyas
Dédale - Laurent Chardon
Strange Design - Ed. Jehanne Dautrey et Emanuele Quinz. 

